Gouffre sans nom
L’artiste parle ici de la perte de repères géographiques. L’enfermement est physique et mental, l’environnement est vidé de toute substance, d’odeurs, de traces. La survie passe par une tentative de marquer l’espace de sa présence.
Le travail réalisé en vidéo utilise le rythme, la répétition, la pause et l’accélération ; seule la voix signifie un organe vivant, invisible, en prise avec le néant, aspiré.